Times They Are A-Changin’… Again…

A mesures exceptionnelles, conditions exceptionnelles,
CAROLINE ne fera pas de grasse matinée demain.

Ouverture des portes de 10h à 18h30 ce dimanche 1 novembre.

Nous prévoyons également d’organiser un « Cash/Card & Carry » 
très rapidement.

Les modalités suivent…

Stay tuned !

En attendant, prenez soin de vous !




Albums of the week

 EELS
Earth To Dora
(Yves)

« 
Mark Oliver EVERETT nous balance frontalement sa vie en musique
depuis plus de 25 ans, au fil de ses humeurs et de ses drames familiaux.
Et c’est quand le monde va mal que celui-ci se veut le plus optimiste.
Ne cherchez plus l’antidote, le voici.  »
—–

TREES SPEAK
Shadow Forms
(DD)

« 
Sept mois seulement après leur premier album, nouvelle apnée
obsédante et puissante dans l’électronique allemande des années 70.
 »
—-

Antoine CORRIVEAU
Pissenlit
(Yves)

« Force est de constater que les artistes nord-américains ne conçoivent pas
la musique de la même façon que leurs confrères francophones.
Voix rocailleuse, poésie et mélancolie accrocheuse, le québecois nous rappelle
à sa manière les Daran, Cantat et autre Feu Chatterton. »

 



Albums of the week

 GORILLAZ
Song Machine, Season 1 :
Strange Timez
(DD, Yves)

« Le groupe de Damon ALBARN nous présente l’album pop le plus tonique
pour affronter la période anxiogène que nous traversons tous.
Une palette de pop songs réjouissante et variée.
 »
—–

Bruce SPRINGSTEEN &
E-STREET BAND
Letter To You
(Yves)

« 
Certains artistes évoluent par réinvention et d’autres par raffinement. Springsteen a souvent comparé l’envergure de sa carrière à une longue
conversation : il peut revisiter certains thèmes, voire se répéter,
mais l’idée est de faire bouger les choses. A 10 jours du scrutin,
ce n’est peut-être pas un hasard…
 »
—-

Aquiles NAVARRO &
Tcheser HOLMES
Heritage Of The Invisible II
(Massimo)

« Membres émérites du brûlant ensemble IRREVERSIBLE ENTANGLEMENTS, NAVARRO et HOLMES cimentent leur message militant à leurs fondations afro-caribéennes. L’album qui éclipse le reste
de la production jazz de l’année. »

 



Albums of the week

 Matt BERNINGER
Serpentine Prison

(DD, Jack, Yves)

« Première tentative en solo pour le chanteur de The NATIONAL produite
par BOOKER T. et étoffée par une myriade d’invités. Une échappée réussie
pour l’enivrante voix de baryton. »
—–

Kevin MORBY
Sundowner
(DD, Jack)

« De retour à Kansas City après le lockdown, Morby se confie sur un album habité par l’esprit de ses compatriotes oubliés et ses proches perdus.
Toujours aussi touchant.
 »
—–

HELIOCENTRICS
Telemetric Sounds

(Massimo, Jack)

« A propos de l’album précédent, on parlait en début d’année
d’un disque introspectif dont l’ « abondance d’influences ne nuisait
pas
à la légèreté ». L’introspection et la légèreté ont ici fait place à
un état des lieux dont le propos clair-obscur reflète justement l’époque.
Un groupe rare. »
—–

Francis CABREL
A l’aube revenant
(Yves)

« L’artiste n’a plus rien à prouver. Témoin affuté et privilégié
de son temps et de nos vies bousculées, le citoyen d’Astaffort
confirme de façon dépouillée son statut d’orfèvre
de la chanson française. »
—–

AUTECHRE
Sign
(Jack)

« Les pionniers anglais de l’electronic art sont toujours omniprésents dans ce genre pointu et expérimental. Epreuve qui peut parfois
vous pousser dans vos retranchements, elle n’en reste pas moins surprenante de par sa production sonore, ses mélodies fouillées
et sa magie architecturale. Pour public averti et ouvert d’esprit. »
—–

HOT CHIP
Late Night Tales
(Yves)

« Rappelons le concept « Late Night Tales » depuis 2001 : offrir
carte blanche à un artiste ou un groupe en nous faisant « découvrir »
sous forme de mix, les morceaux les ayant influencés tout en respectant le thème « nocturne » de la série. Le groupe londonien
vient de rajouter une pépite à cette collection alliant de manière
quasi-constante qualité et originalité. »
—–

CUT WORMS
Nobody Lives Here Anymore
(Yves)

« Empruntant un terme à un poème de William BLAKE,
le chanteur/compositeur indépendant Max CLARKE puise
son inspiration dans les traditions révolues du rock, du country
et de l’americana, qu’il fusionne avec un esprit do it yourself nappé d’arrangements luxuriants. Acclamé par la critique pour ses débuts en 2018, « Nobody Lives Here Anymore » confirme avec une classe folle tout le bien pensé de ce jeune prodige. «