BEAK
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(DD, Yves)
« Sortie inattendue du quatrième album du trio de Bristol.
Générateur d’une musique plus forte et maîtrisée qu’elle
ne l’a jamais été. Groove psych-kraut, voix désincarnées
et synthés désabusés sont à ce rendez-vous surprise. «
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AROOJ AFTAB
Night Reign
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HIGH ON FIRE
Cometh The Storm
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EARTH BALL
It’s Yours
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Alan VEGA
Insurrection
« Calmes, acéres, violents ou torturés, une volée
de disques intenses qui ont fait ma semaine. »
(Massimo)
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Beth GIBBONS
Lives Outgrown
(Yves)
« Sous ses atours ténébreux, le premier « vrai » album solo
de la chanteuse de Portishead nous fait vivre
un voyage organique à travers ses compositions majestueuses.
Il n’est pas près de quitter nos platines. »
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Lenny KRAVITZ
Blue Electric Light
(Yves)
« Estampillé « pilleur de pop » par certains,
« Dieu rock vintage » pour d’autres,
à l’aube de son 60ème anniversaire,
le gourou producteur charmeur new-yorkais
revient sur le devant de la scène musicale.
Oubliez vos préjugés et… let love rule.«
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SHELLAC
To All Trains
(Nico, Massimo, Jack)
« Steve ALBINI n’est plus. Mais Steve ALBINI sera toujours.
Il a laissé tant de traces de son passage que son empreinte
est indélébile. Cette dernière et resplendissante virée est
pour l’éternité. Elle lui appartient désormais. Thanks… «
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VILLAGERS
That Golden Time
(Yves)
« 14 ans après des débuts nominés au Mercury Prize,
Conor O’Brien peut être fier de son parcours. En
mariant voix tendres et douloureuses avec les
racines du folk, l’irlandais est parvenu à créer
un espace musical unique et personnel où
fleure bon la mélancolie du bonheur. »
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COSMIC DEAD
Infinite Peaks
(Massimo)
« Leur réputation les précède et pourtant, on reste subjugué
par les célestes Ecossais. Leur puissance de feu s’est muée
en une énorme divagation instrumentale qui se décuple en
chaque instant. Deux faramineuses faces dont la maîtrise
et la cohérence sont aussi inlassables que déchirantes… »
ARAB STRAP
I’m Totally Fine With It
Don’t Give A Fuck Anymore
(DD)
« Passée la joie de se retrouver, ce deuxième album
post-reformation est un cadeau. Spoken word
monocorde sur arpèges de guitare et beats lents,
les deux Ecossais nous donnent l’envie de danser
au ralenti sur cette chronique alternative. »
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PARSNIP
Behold
(Ben)
« Le jeune quatuor Australien nous sert une bonne
rasade d’indie pop diluée de post-punk, le tout, saucé d’un
psychédélisme à la sauce sixties. Un album enivrant
à siroter peinard en profitant de l’arrivée du soleil. »
