Albums of the week

 DESTROYER
Have We Met

(Yves)

« Groupe indie canadien, DESTROYER élargit sa palette
à chaque nouvel album. Plus harmonique et récitatif, celui-ci nous invite
au fil des écoutes à un confort mental apaisant. »

—–

Dan DEACON
Mystic Familiar

(Jack)

« Dan DEACON, plus mystique que jamais, tisse des symphonies
électroniques miniatures dignes des grandes heures
d’ANIMAL COLLECTIVE ou des FLAMING LIPS.
 »
—–

CALIBRO 35
Momentum

(Massimo)

« Les Italiens font à nouveau preuve d’une maîtrise sans égal. Il manient le funk, le jazz et l’art de remodeler la musique orchestrale cinématographique à la perfection. Un zeste de hip-hop relève aujourd’hui la sauce. Imparable. »

—–

 Ben WATT
Storm Damage
(Yves)

« Moitié d’E.B.T.G, Ben WATT explore un univers plus intime lié,
selon lui, à un ressentiment tenace envers le monde politique.
Un des rares avantages du Brexit?
 »

 



Albums of the week

 WIRE
Mind Hive

(DD, Jack)

« 17ème album pour ces vétérans, dans la continuité d’un genre,
le post-punk, qu’ils ont pratiquement inventé.
Never has-been… »

—–

Jeff PARKER
Suite For Max Brown

(Massimo)

« Jeff Parker, pour rappel guitariste au sein de TORTOISE,
abolit les frontières, décompose les genres et accouche d’un album
céleste et inclassable.
 »
—–

HOLY FUCK
Deleter

(Yves)

« HOLY FUCK fait de la musique électronique
pour les festivals de rock.
Et cela fonctionne… »

—–

 ANSATZ DER MASCHINE
Burial Songs
(Yves)

« Enregistré au pays de Björk, l’album de notre compatriote
Mathijs Bertel marie avec grâce, douceur et modernité.
Les fans de Nils et Ólafur apprécieront.
 »

 



Albums of the week

 Marcus KING
El Dorado

(Yves)

« Marcus KING nous distille quelques pépites « blues-rock-soul » sur la route
de son Eldorado. Pas étonnant que Dan AUERBACH ait succombé. »

—–

Mr. ELEVATOR
Goodbye, Blue Sky

(DD, Jack)

« Le projet de Tomas DOLAS, pigiste chez les OH SEES, fait la part belle aux synthés, à l’orgue et au mellotron. La rencontre de AIR et STEREOLAB.
 »
—–

LYENN
Adrift

(Massimo)

« Lyenn illustre élégamment les grands espaces de l’Islande
au cœur de laquelle il a enregistré son disque, entre la retenue
et la plénitude. On pense naturellement à Mark HOLLIS.
L’année commence bien… »