Auteur : Yves

Antonio NEVES
A Pegada Agora É Essa
(Massimo)

« Le multi-instrumentiste convoque l’avant et la jeune garde brésiliennes avec la volonté de bâtir des ponts entre tradition et reconquête.
En résulte un radieux manifeste de jazz libre,
frondeur, groovy et élégamment créatif.« 
—-

DELGRES
4:AM
(Yves)

« Les hommes du gouvernement ont dit ‘plus possible de voyager ».
Les DELGRES ont répondu « li pa yon pwoblèm ».
Magnifique, dorénavant le couvre-feu est déplacé à
quatre heures du matin ! »
—–

BROCKHAMPTON
Roadrunner: New Light, New Machine
(Axel st.)

« Assurément le projet le plus mature du boys band américain.
Les gars jonglent avec aisance entre rap hardcore et pop hyper catchy, le tout en abordant des sujets personnels et sensibles. Bien que rien d’extrêmement original ne soit mis sur la table, je pense
que l’album restera en rotation pour un bon bout de temps ! »

La FEMME
Paradigmes
(Jack)

« Cet electro punk débridé ! J’en suis rien que pour « Foutre le bordel »,
nouvel hymne d’une génération perdue et bafouée. Cette année,
les Français ont le vent en poupe et surprennent par leur originalité.
DAFT PUNK est mort, vive La FEMME !« 
—-

Owen PALLETT
Island
(DD)

« Le collaborateur d’Arcade Fire prend le pari d’abandonner
son violon fétiche pour le piano. Il puise avec bonheur dans la pop orchestrée et baroque. Disque fragile et riche en émotions. »
—–

Jay Jay JOHANSON
Rorschach Test
(Yves)

« Le Suédois francophile balance son spleen et sa mélancolie
délicieusement suave sur fond de sonorités trip-hop.
Pourquoi sortir de son lit quand on y est si bien ? »
—–

DRY CLEANING
New Long Leg
(Jack)

« Signé sur le légendaire label 4AD, ce quatuor britannique, adepte d’un post-punk teinté de poésie décalée est probablement l’une
des meilleures surprises de la catégorie. Les influences y sont
nombreuses, The Fall, Magazine ou Sleaford Mods…
Une révélation et un régal pour les amateurs du genre. »
—–

WRITHING SQUARES
Chart For The Solution
(Massimo)

« Le duo pousse un cran plus loin sa revisite du titanesque héritage d’HAWKWIND en y injectant une bonne dose de l’impulsion
rampante de SUICIDE. Quatre faces de riffs dilués dans un océan
de divagations acides et acerbes. »
—–

FLOATING POINTS, Pharoah SANDERS
& The LONDON SYMPHONY ORCHESTRA
Promises
(Axel st.)

« Certainement la collaboration la plus inattendue de l’année entre une légende vivante du jazz, un producteur électronique
underground et l’orchestre symphonique de Londres.
Et quel résultat ! Minimaliste et accessible. Tantôt à peine
perceptible et tantôt majestueusement envahissant,
les 9 mouvements sont à écouter d’une traite.
Bon voyage ! »