Albums of the week

 Matt BERNINGER
Serpentine Prison

(DD, Jack, Yves)

« Première tentative en solo pour le chanteur de The NATIONAL produite
par BOOKER T. et étoffée par une myriade d’invités. Une échappée réussie
pour l’enivrante voix de baryton. »
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Kevin MORBY
Sundowner
(DD, Jack)

« De retour à Kansas City après le lockdown, Morby se confie sur un album habité par l’esprit de ses compatriotes oubliés et ses proches perdus.
Toujours aussi touchant.
 »
—–

HELIOCENTRICS
Telemetric Sounds

(Massimo, Jack)

« A propos de l’album précédent, on parlait en début d’année
d’un disque introspectif dont l’ « abondance d’influences ne nuisait
pas
à la légèreté ». L’introspection et la légèreté ont ici fait place à
un état des lieux dont le propos clair-obscur reflète justement l’époque.
Un groupe rare. »
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Francis CABREL
A l’aube revenant
(Yves)

« L’artiste n’a plus rien à prouver. Témoin affuté et privilégié
de son temps et de nos vies bousculées, le citoyen d’Astaffort
confirme de façon dépouillée son statut d’orfèvre
de la chanson française. »
—–

AUTECHRE
Sign
(Jack)

« Les pionniers anglais de l’electronic art sont toujours omniprésents dans ce genre pointu et expérimental. Epreuve qui peut parfois
vous pousser dans vos retranchements, elle n’en reste pas moins surprenante de par sa production sonore, ses mélodies fouillées
et sa magie architecturale. Pour public averti et ouvert d’esprit. »
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HOT CHIP
Late Night Tales
(Yves)

« Rappelons le concept « Late Night Tales » depuis 2001 : offrir
carte blanche à un artiste ou un groupe en nous faisant « découvrir »
sous forme de mix, les morceaux les ayant influencés tout en respectant le thème « nocturne » de la série. Le groupe londonien
vient de rajouter une pépite à cette collection alliant de manière
quasi-constante qualité et originalité. »
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CUT WORMS
Nobody Lives Here Anymore
(Yves)

« Empruntant un terme à un poème de William BLAKE,
le chanteur/compositeur indépendant Max CLARKE puise
son inspiration dans les traditions révolues du rock, du country
et de l’americana, qu’il fusionne avec un esprit do it yourself nappé d’arrangements luxuriants. Acclamé par la critique pour ses débuts en 2018, « Nobody Lives Here Anymore » confirme avec une classe folle tout le bien pensé de ce jeune prodige. « 

 

 

 



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