MYSTERY LIGHTS
Purgatory
(Jack, Yves)
“Troisième album pour ‘WICK’, filiale à guitare de chez DAPTONE,
pour l’un des ‘meilleurs groupes affilié à la scène garage de New York‘
selon le NME. Rétro, sans être passéiste, le combo dégoupille un
cocktail explosif de leurs influences (KINKS, EASYBEATS ou
SONICS), au service d’une efficacité toute contemporaine. »
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PARTY DOZEN
Crime In Australia
(Massimo)
“Il faut bien avouer que l’on est complètement passé à côté
de cet improbable duo australien, truculente association
d’une saxophoniste et d’un batteur. Ça grince, ça dérape
et ça part en vrille mais, sans jamais perdre le sens du
groove assassin et du contretemps qui déboite. Les fans de
WARMDUSCHER feraient bien de lâcher leur pipe à eau et
de promptement jeter une oreille à ce nouvel ovni aussie. »
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BRIGHT EYES
Five Dice, All Threes
(Yves)
“ À 44 ans, on peut dire que Conor OBERST n’a pas chômé.
Que ce soit sous son nom, en duo avec Phoebe BRIDGERS
ou depuis 98, au sein du giron BRIGHT EYES, duquel a
d’ailleurs récemment émergé un 13è album qui, au fil des
écoutes, nous délivre toutes ses promesses. L’homme d’Omaha,
dont l’inspiration oscille entre TWEEDY et DYLAN, pare de
sa voix chevrotante, des chansons en forme de confession
dans lesquelles il s’abandonne à nouveau sans fard. »
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PARLOR GREENS
In Green, We Dream
(Ben)
“C’est chaleureux, c’est groovy. On l’écoute dans les transports,
en cuisinant ou peut-être même en ne faisant rien du tout.
Une batterie, une guitare, un orgue, rien de plus. Trent-cinq
minutes de soul instrumentale et de jazz débridé qui
donnent envie de se trémousser… Peinard. »