What is up at CAROLINE Music ?

SUNDA ARC
Night Lands
(Yves)

« Issus de l’excellente formation jazz MAMMAL HANDS, les frères
Smart (Nick & Jordan) officient également sous le nom de
SUNDA ARC, leur side-project électro. S’appuyant sur
des influences techno, néo-classiques, ambient et post-rock,
« Night lands » poursuit de manière convaincante l’excellente 
impression que le duo nous avait laissé lors de leur premier
album « Tides » paru en 2020. Gros, GROS coup de coeur. »
—–

Loraine JAMES
Building Something
Beautiful For Me
(Massimo)

« Loraine James rend ici hommage au trop méconnu
Julius EASTMAN, qui bien avant elle, aura payé le prix
fort d’être noir et gay dans une société rigide et intolérante.
Paradoxalement, elle publie un album où la colère transparait
moins qu’à l’accoutumée, qui la voit se parer de tendresse,
et l’établit comme un pendant de Dean BLUNT au féminin.. »
—–

MYTHIC SUNSHIP
Light / Flux
(Nico)

« Another Shape Of Psychedelic Music comme ils l’annoncent
eux-mêmes en parlant de leur recette. Un album plus en apesanteur
que le précédent. Moins frontal mais tout aussi efficace, l’intense
magma sonore des Danois fait immanquablement forte impression.« 
—-

PANDA BEAR & SONIC BOOM
Reset
(DD)

« Enfin une sortie physique pour l’architecte de SPACEMEN 3 et
la voix chorale d’ANIMAL COLLECTIVE qui se sont acoquinés pour
un album aux saveurs psychédéliques. Effets secondaires garantis. »
—–

COOL GREENHOUSE
Sod’s Toastie
(Massimo)

« Le retour du groupe le plus décontracté d’Angleterre. Ne laissez surtout  
pas l’apparente nonchalance des bonhommes prendre le pas sur les
considérations musicales. Chaque riff est pesé, la répétition opportune
et le phrasé, pour peu que l’on y prête attention, dévoile des trésors,
entre punchlines tordantes et opinions sagaces sur l’état de leur société.« 
—–

Neil YOUNG
World Record
(DD, Yves)
 
« Pour son 42e album, Neil a fait appel à Rick RUBIN pour sculpter
le son de ses préoccupations environnementales. Paradoxalement,
il reste néanmoins nostalgique de ses virées au volant dans les grands
espaces. A 77 ans, le côté hyperproductif de l’artiste peut interloquer
mais son talent ne pourra jamais être mis en doute !« 
—–

HORSE LORDS
Comradely Objects
(Massimo)

« Free jazz, math rock, world urbaine ? Par quel bout appréhender
la musique des New-Yorkais ? Un mélange de tout cela à n’en pas
douter. Pourtant, leurs polyrythmies à l’apparence complexe ne
m’ont jamais semblé si accessibles. Une transe tribale à couper
le souffle charpentée comme un exutoire indissociable des
ébouriffantes performances scéniques du quatuor. « 
—–