Auteur : Massimo

DAUGHTER
Stereo Mind Game
(DD)

« Toujours marqué par un songwriting sombre et profond,
inspiré par les éléments et la nature, le trio nous propose
une dream-pop empreinte de lumière et de grâce,
entre guitares shoegaze et orchestrations subtiles. »
—–

Emiliana TORRINI &
The COLORIST ORCHESTRA
Racing The Storm
(Yves)

« Lorsque deux artistes sont capables de se synchroniser
à un niveau infinitésimal. Quand chaque note, souffle
et grattement s’alignent pour créer l’ensemble parfait. 
Ce mariage heureux, consommé en 2016, concrétise
l’harmonieuse rencontre entre l’artiste islandaise d’origine
italienne et l’ensemble orchestral The Colorist Orchestra. »
—–

Matt ELLIOTT
End Of Days
(DD)

« Matt poursuit sa route sur les terres embrumées
du folk et enchaîne, bercées par des influences
balkaniques et tziganes, six longues plages flâneuses
portées par sa voix puissante et vaporeuse.
Une fois encore, on s’y abandonne de bon gré. »

Nick WATERHOUSE
The Fooler
(Yves)

« La nostalgie est un piège, dans lequel Nick WATERHOUSE semble
avoir sciemment succombé au cours de la dernière décennie. 
Explorant un groove qui s’inspire fortement du R&B et du Jazz
qui fleurissait au crépuscule des années 50, le crooner stellaire
parvient dans le même temps, à faire écho à la fanfaronnade de
Lou REED dans Late in the Garden ou à Bob DYLAN sur The Fooler
avec la même élégance orchestrale sans âge. Grand bien nous fasse. »
—–

LONDON BREW
s/t
(Massimo, Nico)

« A l’occasion des 50 ans de Bitches Brew, l’un des travaux
les plus aventureux et mémorables de Miles DAVIS, un aréopage
de musiciens anglais, se jette à corps perdu dans une célébration
aussi révérencieuse que désinvolte. Ce qui aurait pu passer pour
un exercice aussi prétentieux que périlleux tourne à la franche
réussite, tant la clique semble déterminée à piétiner les acquis, tous
bien décidés à soigneusement éviter les courbettes, strictement
à l’image de leur illustre et indomptable prédécesseur. »