Albums of the week

 ALL THEM WITCHES
Nothing As An Ideal

(Jack, DD)

« C’est aussi la rentrée pour ces américains désormais trio,
qui sortent là leur album le plus heavy et expérimental enregistré
à Abbey Road. Puissance lysergique et bluesy. »
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Chuck PROPHET
The Land That Time Forgot
(Yves)

« 
Songwriter solitaire égaré dans une Amérique perdue, Chuck Prophet n’en est pas moins qu’à son 14ème album solo. Plus classique dans sa forme, celui-ci nous rapproche vers des artistes tels que Tom PETTY,
Ray DAVIES et autres Elliott MURPHY. »
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V/A
Angel Headed Hipster

(DD)

« Nick Cave, Elton John, Devendra Banhart, Joan Jett
ou Beth Orton réinventent Marc Bolan dans le dernier projet
de Hal Willner, décédé cette année. »
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BRIGHT EYES
Down In The Weeds
(Yves)

« 
Après presque une décennie d’aventure en solo, Conor OBERST
réunit ses camarades, Mike MOGIS et Nate WALCOTT pour un onzième voyage sur les terres de l’indie folk alternative. Sans emprunter la voie
facile de la nostalgie, ni une direction nouvelle qui aliénerait ses fans,
« Down In The Weeds » nous prouve avec audace et intelligence
que l’attente fut salutaire.
 »
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SURPRISE CHEF
All News Is Good News
(Massimo)

« Il aura fallu un an pour que le disque des Australiens trouve
un écho en Europe grâce au label Mr. Bongo. Une tambouille soul/funk instrumentale à la BUDOS BAND mais qu’on jurerait jouée par
une troupe de Mac DEMARCO, flegmatique et décomplexée.
Ne traînez pas à l’épuiser, la suite est annoncée pour octobre. »

 

 

 



Albums of the week

 RIVAL CONSOLES
Articulations

(Yves)

« 
Ryan Lee West alias RIVAL CONSOLES,
enfant prodige du label ERASED TAPES, construit ses paysages musicaux avec une cohérence et une inventivité constante.
De l’Intelligent Dance Music bien actuelle donc, qui ravira les fans de the ACID, KIASMOS, Jon HOPKINS et Max COOPER. »
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FANTASTIC NEGRITO
Have You Lost Your Mind Yet ?
(Yves)

« 
FANTASTIC NEGRITO est un phénomène
insolite et unique tout droit venu d’Amérique.
L’artiste fusionne les genres BLUES, ROCK, FUNK et HIP HOP
avec une aisance insolente et une rage plus qu’addictive.
De LEADBELLY à PRINCE, en passant par SLY & the FAMILY STONE
et l’ovni Asaf AVIDAN.. »
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SILVERBACKS
Fad
(Jack)

« L’IRLANDE encore à l’ honneur !
Noisy pop accrocheuse, rough et catchy à la fois.
Mélange de styles et d’influences rock des années 2000.
Ces Dublinois peuvent être fiers de leur premier album,
efficace et sans bavure.  A suivre …. »
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LEMON TWIGS
Song For The General Public
(Dd)

« Les jeunes frères D’ADDARIO nous proposent une 3eme galette
bariolée et biberonnée une fois encore aux seventies.
A travers leur assemblage glam-rock, ils réhabilitent avec talent
des groupes comme QUEEN, SPARKS et SUEDE.
Univers foisonnant et communicatif à souhait. »

 

 



Albums of the week

 Jason MOLINA
Eight Gates

(DD)

« De passage à Londres entre 2007 et 2008, l’âme tourmentée
de SONGS: OHIA, disparu à 39 ans, enregistre neuf titres enfin publiés.
Immuables chant magnétique et voix intense, toujours inspirés
par la country chère à ses origines.
 »
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ROSE CITY BAND
Summerlong
(Yves)

« 
Seconde échappée solo remarquable pour Ripley JOHNSON,
leader chanteur/guitariste de WOODEN SHJIPS et moitié masculine
de MOON DUO. La course est gagnée d’avance si vous avez déjà misé
sur Steve GUNN, J.J. CALE et le GRATEFUL DEAD.  »
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IMPERIAL TRIUMPHANT
Alphaville
(Massimo)

« Les New-yorkais continuent de fouler les terres arides où jazz
et avant-garde se fondent dans le métal extrême. Une approche conceptuelle
au service d’une réelle vision globale sans limite aucune.
Il faut apprécier
le black metal vous me direz. Et bien, pas forcément, je vous répondrais…
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Les mercredis de rattrapage

 Jonathan BREE
After The Curtains Close
(Yves)

 » Figure excentrique de la scène indie néo-zélandaise, Jonathan BREE distille de façon lancinante sa pop précieuse, orchestrale et nébuleuse.
On pense à Neil HANNON (DIVINE COMEDY) qui rencontrerait The NATIONAL le temps d’un album…« 
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CORIKY
s/t
(Massimo)

« Le plaisir simple de retrouver Ian MacKAYE et Joe LALLY (sans occulter Amy FARINA), ce son brut et franc, typique de FUGAZI et de leur descendance et ce souffle engagé et frondeur cher à nos oreilles éduquées aux tonalités crues des 90’s… »
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