What is up at CAROLINE Music ?

Marlon WILLIAMS
My Boy
(Yves)
 
« My Boy, le troisième album de l’auteur/compositeur
néo-zélandais Marlon WILLIAMS a tout l’air d’une renaissance.
L’esthète folk au timbre de crooner s’est entouré d’un nouveau
groupe, fait la part belle aux synthés, et s’autorise même quelques
 écarts dignes de la pop soyeuse propre au grand Bryan FERRY. »
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AFGHAN WHIGS
How Do You Burn ?
(DD)

« AFGHAN WHIGS, groupe vétéran toujours pertinent
et hanté par l’univers tourmenté de Greg DULLI, revient
aux affaires. Rare doyen du rock qui conserve toute
son irrésistible incandescence, faite d’un singulier alliage
de soul, d’éloquence et de rock aussi tumultueux que charnel. »
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TROPICAL FUCK STORM
Moonburn
(Massimo, Nico)

« Voilà, il fallait que ça arrive, un album de la semaine qui
ne sort qu’en cassette. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour
TROPICAL FUCK STORM ? Quatre titres, dont un ‘Moonburn’,
titre déchirant dont ils ont le secret (bien gardé) et deux reprises,
impeccables d’audace, ‘Ann‘ des STOOGES et ‘Heaven‘
de TALKING HEADS. La grande classe.  « 
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THEE SACRED SOULS
s/t
(Yves)
 
« L’écurie DAPTONE, sans surprise, livre un disque
d’un autre temps, à la croisée des chemins de
la soul léchée des 60’s et du groove estampillé 70’s.
Les gars maitrisent leurs harmonies vocales à la perfection,
conférant à l’affaire, une petit teinte sacrée.
De fait, tout était déjà dans le titre… « 
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THOU
A Primer Of Holy Words
(Nico)

« Le groupe de Bâton-Rouge dégaine un album de reprises.
Pas leur premier exercice du genre, après un disque entier
de réinterprétations de NIRVANA, pourtant, on ne se lasse
pas de les entendre littéralement exploser une flopée
de classiques triés sur le volet. New Orleans sound rules…« 
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Horace TAPSCOTT
Quintet
(Massimo)

« Un album de la semaine enregistré en 1969, voilà qui
n’est pas banal. Déterré des limbes par le label Flying Dutchman,
ce disque enregistré par le Horace TAPSCOTT QUINTET
dans la foulée du rare mais classique ‘Giant Is Awakened‘
ne pâlit pas devant son prédécesseur. L’occasion rêvée
de se pencher sur le cas TAPSCOTT, sa vision de l’industrie,
de la musique et de la célébration de ses racines. « 
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COMPRO ORO
Buy The Dip
(Yves)

« Nouvel album pour les Gantois, qui s’éloignent un peu plus
du latin / ethio jazz qui a fait leur renommée et varient
les plaisirs en s’offrant une incartade plus cinématographique.
Film noir, western, le tout enrobé dans un halo électro-jazz
idéalement fignolé. Un cas à part dans la scène locale qui
ne manque décidément pas d’admirables têtes chercheuses. »