Jack WHITE Entering Heaven Alive (DD, Nico) « Trois mois après ‘Fear Of The Dawn‘, J. W. conclut cette période de renaissance avec son exact négatif, ‘Entering Heaven Alive‘. Le surdoué installé à Nashville se laisse imprégner par l’endroit et livre avec décontraction, guitares acoustiques et harmonies vocales pour un résultat proche des RACONTEURS. » —–
IMPERIAL TRIUMPHANT Spirit Of Ecstasy (Massimo, Nico) « Il est des disques qu’il est inconcevable de résumer sans d’incalculables semaines d’écoute intensive. Les gusses d’IMPERIAL TRIUMPHANT viennent peut-être d’illustrer à merveille la maxime attribuée à Frank ZAPPA, « écrire sur la musique, c’est comme danser à propos de l’architecture« . On ajoutera qu’au delà de ses théories, ils lui ont également emprunté son illustre science de la structure érudite et de l’énergie débridée. P.S. : En effet, pour ceux qui suivent, c’est au mot près la chronique de la semaine passée. Force est de constater que les deux groupes développent d’inconsidérables efforts pour être seuls sur leur planète. » —–
INTERPOL Other Side Of Make-Believe (DD, Yves) « Après avoir ressenti le poids d’un premier album (20 ans déjà) quasiment parfait, le groupe, libéré de toute pression, explore de plus amples territoires et, entre ombre et lumière, revient sérieusement aux affaires. » —–
BLACK MIDI Hellfire (Massimo, Nico) « Il est des disques qu’il est inconcevable de résumer sans d’incalculables semaines d’écoute intensive. Les gusses de BLACK MIDI viennent peut-être d’illustrer à merveille la maxime attribuée à Frank ZAPPA, « écrire sur la musique, c’est comme danser à propos de l’architecture« . On ajoutera qu’au delà de ses théories, ils lui ont également emprunté son illustre science de la structure érudite et de l’énergie débridée. » —–
Hugo RACE FATALISTS Once Upon A Time In Italy (Yves) « Hugo RACE est un sacré bourlingueur. Il se murmure que le vieux briscard aurait posé ses valises en Italie. Si quelques titres chantés dans la langue de Dante sont une nouvelle preuve de son agitation chronique, on retrouve la patte de l’ex-BAD SEEDS, entre blues, gothic americana et western le plus poisseux. On est au pays de Sergio LEONE après tout… »